Mystérieuse, secrète voici deux mots qui définisse bien notre chère Lilywen. Quand on l'a regarde on se demande qui elle est, pourquoi ses yeux sont si étincelant. Pourquoi ses vêtements sont comme intemporel, d'un autre monde, d'une autre époque. Lilywen est une personne à l'écoute, douce mais elle peut devenir méfiante et elle peut se mettre en colère quand elle voit des choses injuste tout autour d'elle. Lilywen vit en parfaite harmonie avec la nature elle n'est pas le genre de femme à poser des questions. Elle réfléchit toujours avant d'agir. Si vous l'a chercher  vous l'a trouverez souvent aux abords d'une foret, jamais enfermé dans une maison, sauf si bien sur elle y est prisonnière.

Toute histoire a un début, un milieu et une fin. Un peu comme la vie elle a un commencement et une fin. Vraiment? C'est une question que je me pose et qui demande réflexion pour les personnes comme moi pour ce que certains appellent un monstre et cela même encore maintenant. Je suis né il y a de cela 35 ans, Je suis le fruit d'un amour interdit entre une sorcière et un inquisiteur. Un enfant qui n'aurait jamais dut voir le jour. Et pourtant je fis apparaitre mon petit minois dans une clairière d'une foret en Russie dans le plus grand secret. Mes parents me donnèrent le doux prénom de Lilywen, pour mon bien je devais resté caché et mon existence devait être tût pour ma survie. Il faut savoir qu'en Russie, il n'est pas bons d'être une sorcière et parfois peut être encore maintenant dans certaines contrés où les sans pouvoirs ont peur de la magie. Jadis, les sorcières étaient traqués et brulées sur le bucher pour cause hérétique. C'est ce qui arriva à ma mère. Ma mère utilisait sa magie pour soigner les blessures, et pour faire le bien. Seulement à cette époque la magie faisait peur car il y avait des sorciers qui faisaient le mal, et qui aimait répandre le chaos. On pouvait dire qu'il y avait plusieurs confrérie. Ma mère était une sorcière d'une confrérie de lumière et non d'ombre. Mon père l'avait compris mais tout le monde n'était pas comme lui. Pour la plupart des inquisiteurs il n'y avait pas de différence. Toutes personnes accusés de sorcelleries étaient, pourchassé, torturé, jugé et brulé soi disant afin de purifier leurs âmes. Je ne pourrais jamais oublié ce fameux jour où les inquisiteurs sont venu la cherché parce qu'elle avait été accusé de sorcellerie et dénoncé par un ami de mon père, tout ça parce qu'elle avait soigner un homme. J'avais 6 ans elle m'avait caché sous une trappe en me disant de ne pas bouger quoique je vois et que j'entende. Quand mon père est rentré il a trouvé ma mère ou tout au moins ce qu'il en restait. Je n'ai pas eu le temps de réagir qu'il se donna la mort. Me laissant toute seule. Depuis ce jour là j'avais errer dans la foret non loin, j'aurais pus mourir et pourtant non j'ai appris à survivre parmi les animaux, Les loups étaient devenus ma famille, ma vie. Jusqu'à ce fameux jour.Ce jour des humains sont venu abattre les loups qu'ils considéraient comme monstre. Tout les loups sauf un bébé que j'avais protégé. Je me sentais si seule, si dépourvu. Puis j'ai fais la rencontre d'un homme. Pourquoi j'ai eu confiance en lui? Je ne sais pas mon instinct me poussa à avoir confiance. Il voulait que je le suive, Je me décida à le faire. Il m'amena en Angleterre. Je découvris ce pays à travers le regard d'une enfant de 11 ans. Le monsieur me fit découvrir Poudlard. Une école où on apprend la magie. Le monsieur m'apprit qu'il était le frère de ma mère. Qu'il me croyait morte mais quand il c'est aperçut de mon existence il avait tout mis en œuvre pour me retrouver. Je fus envoyé à Gryffondor. Je ne peux pas dire que j'ai vraiment aimé Poudlard, les deux seuls cours qui me plaisaient c'était les potions et les soins aux créatures magiques. Je n'aimais pas être enfermé dans le château, de nature solitaire comme les enfants sauvage l'appel de la foret, l'appel de la nature a toujours été là. Dans la foret je retrouvais le loup que j'avais sauvé. Le seul ami qui a toujours été là pour moi. Les années ont bien passé. Je n'ai pas vraiment d'ami(e)s. Les seuls humains qui ont eut de la considération pour moi sont mon oncle et le directeur de l'école. Cela faisait plusieurs mois qui me tannaient pour que je devienne professeur de soins aux créatures. Il voulait que je transmettre mon savoir. Après réflexion je fini par accepté.