Abigail est l'unique fille de Connor & Lyra Rhodes, deux parfaits moldus + tout deux tiennent une boulangerie dans la périphérie de Londres, une entreprise familiale transmise de père à fils depuis des générations+ Abby y a donc passé la majorité de son enfance + elle n'a jamais soupçonné ses pouvoirs avant ses onze ans + sous un coup de colère, elle a fait exploser le présentoir à Cupcakes + elle est à sa connaissance la première sorcière de la famille Rhodes + elle a reçu sa lettre pour Poudlard peu de temps après l'incident + ses parents, bien que chamboulés par la nouvelle, la soutiennent énormément dans sa différence + cependant, elle cache à tous ses camarades ses origines, prétendant être sang-mêlée + rapidement passionnée par le Quidditch, elle rejoint une équipe en tant qu'attrapeuse + sa carrière ne dure pas longtemps : après seulement quatre matchs réalisés avec brio ; elle est frappée par un cognard mal dévié + elle refuse catégoriquement de remettre les pieds sur un terrain de Quidditch, et se dirige finalement vers une carrière de Défense Magique après avoir passé son ASPIC + elle sort avec son ex co-équipier + il est le seul au courant de ses véritables origines.

Enjouée - Vive - Protectrice - Sportive - Amoureuse - Paranoïaque - Studieuse - Gourmande - Boudeuse - Fidèle

Adore les Cupcakes, mais attention, que ceux de ses parents + arrive difficilement à tenir en place plus d'une heure + a pris l'habitude de sauter entre les escaliers pendant que ceux-ci s'écartent ou se referment + fuit le Quidditch comme la peste + aimerait passer plus de temps à bécoter son copain qu'à gratter les parchemins + danse souvent comme ça, toute seule, pour rien + a un hibou mal aimable nommé Elfie + a un stock impressionnant de pansements pour ses doigts ; fichu piaf + se ressert beaucoup trop souvent de jus de Citrouille en cachette pendant les banquets

« Et surtout n'oublie pas ... » « ... de te brosser les dents trois fois par jours ... » « ... de nous envoyer une lettre  une fois par semaine ... » « ... une lettre matin et soir ... » « Connor, ce n'est pas comme ça que tu vas réussir à couper le cordon ombilical un jour. »

Du haut de tes onze ans, brunette à peine plus grande que ton chariot, tu les regardes se disputer. Disputer, c'est un grand mot. Un mot de grands. Mais pourtant une action que tu n'as jamais connu au sein de ta famille. C'est bien simple, ici, tout le monde s'aime. Même ce fichu piaf dégarni que tu viens d'acheter au chemin de Traverse, t'es persuadée qu'il t'aime, gamine - ça, je peux pas te le garantir, tu comprendras plus tard à quel point il est ingrat, cet emplumé. Mais revenons en à tes valises. Parce qu'ils dégoulinent de valises pleines à craquer, tes bras. T'as l'impression de que tu vas jamais revenir, chargée comme ça, et tu te mords la lèvre inférieure jusqu'au sang pour cacher le vilain pincement au cœur. Il est dur ce pincement là, aussi dur et consistant que les caramels dorés que vendent tes parents. Ah ces caramels là ... T'en as plein les poches, tu les a planqué comme des trésors. Si tu savais la mélasse que t'étais en train de faire dans ton pauvre jean, Abby ... C'est pas comme si tu partais pour toujours, pas vraiment, mais ta nouvelle amie "la peur" avait décidé de te coller aux basques. Elle est chiante la peur, Abby. Elle te fait faire n'importe quoi parce qu'elle a pas les couilles de le faire elle-même. Reste pas avec cette peur là, Abby. Tu t'en fous d'avoir l'air stupide à pleurer sur le quai de la voie 9.3/4, toutes les premières années le font. Tu t'en fous d'être la seule sorcière chez toi, il faut toujours un début à tout. Tu t'en fous d'avoir honte quand tes parents t'embrassent à t'en faire mal aux joues, parce que putain, qu'est-ce que tu les aimes Abby.


« Respire Abby, c'est bon, c'est comme à l'entraînement. »

Comme à l'entraînement, comme à l'entraînement, il était mignon à répéter ça. Il était mignon tout court. Concentre-toi, Miss Rhodes, t'as le droit d'avoir les hormones en feu tant que t'as la tête dans le jeu. Revois tes priorités. Ajustant les lanières de tes bottes en cuir, tu jettes un dernier coup d’œil derrière le rideau. La foule est en délire, les maisons se tapent dessus, c'est bon, la nausée revient. Rien à faire, t'es perfectionniste au point de t'en rendre malade. Quatre matchs réussis depuis le début de la saison, t'aurais de quoi être contentée, mais non. C'est jamais assez bien pour toi, hein ? Il t'en faut toujours plus, toujours mieux, toujours, toujours, toujours ... Eh, Abby, arrêtes de buguer comme ça. Il va finir par avoir peur si tu continues à le regarder avec tes yeux d'amoureuse transis. Ah mais ça pour l'aimer, tu l'aimes. Trop d'amour en toi, Abby, ça finira par te perdre. Fais moi confiance, les jeunes amours sont éphèm... Eh mais tu m'écoutes ou quoi ? On a compris qu'il était à toi monsieur Beau Gosse, tu peux arrêter l'échange salivaire et te bouger sur le terrain !

« Plus que trente secondes ! » Par Merlin. C'est le seul truc qui te traverse l'esprit alors que tu vrilles sur toi-même pour esquiver un joueur de l'équipe adverse. L'altitude te grise ; l'adrénaline de la victoire imminente te rend folle. Trente secondes. Trente petites secondes pour attraper ce fichu vif d'or. Tu peux le faire, Abby. Ça hurle dans tous les sens : Dans les tribunes, dans le compteur, dans le compte à rebours, dans tes méninges ... Vingt secondes. Soudain, tu l'aperçois. Juste sur ta droite, planqué au fin fond de ton champ de vision. Enfin. Tu accélères sans réfléchir, sans penser, sans évaluer la distance entre toi et le futur objet de ta collision. Une erreur de débutante. Dix secondes ... Ta main s'étend, tes phalanges craquent sous l'effort, et l'espace d'un instant tu le sens vibrer sous tes empreintes. Cinq secondes. C'est déjà trop tard pour toi. « ABBY ! » Deux secondes. A peine le temps de te retourner que tu sens la balle caoutchouteuse t'enfoncer la mâchoire. Zéro. La chute, tu ne la sens même pas. T'es déjà ailleurs. En apesanteur, comme le reste des os de ton visage. Et t'as mal. Bon sang que t'as mal. Avant de t'éclater sur le sol tu te demandes même ce qui est le pire : La douleur physique, ou l'entendre, lui, s’époumoner en hurlant ton nom comme si c'était lui qu'on avait frappé.

Tu l’as compris, tu fais enfin parti des nôtres ! Félicitations !  
   Maintenant que tu fais parti de la famille, tu as enfin accès à l’ensemble du forum et nous t’encourageons vivement à l’explorer de fond en comble mais pas de panique, voici un petit guide qui pourra t’être utile dans ta quête : tout d’abord, si tu es le membre d’une famille de la saga, il sera indispensable que tu te recenses. Ceci fait, tu pourras aller poster ta fiche de liens, ta fiche de topics et ton Hibou ! Ces étapes sont indispensables pour bien démarrer sur le forum (et n’oublie jamais : une fiche de lien bien renseignée attirera bien plus de curieux qu’une fiche tristement vide !).  

   En ce qui concerne la partie Hors-Jeu, nous te conseillons de prendre connaissance du Miroir du Risèd qui te permettra de transmettre tes demandes aux membres du Staff ainsi que t’informer sur le système de points mis en place sur POM ! Sans être le clou du spectacle, ces points permettront notamment de gagner la coupe des Quatre Maisons à la fin de l’année mais également…élire les membres du mois !

   Bref sur ce, n’hésite pas à te lancer dans l’aventure et si tu veux prendre une pause, rejoins-nous sur le flood ou encore sur la Chat-Box !